You are currently browsing the tag archive for the ‘autoérotisme’ tag.

J’ai mis ma « menace » à exécution…

Alors que petit mari était au travail (un peu fatigué, le pauvre…), je suis allée explorer mon nouveau quartier au pas de course. Une promenade 30 minutes au soleil, vêtue de mon short noir et de ma camisole blanche. Une queue de cheval pour nouer ma tignasse brune, un peu d’huile pour bronzer sportive (et non idiote) et me voilà partie!

J’aime courir, soit dit en passant. Jogger me permet, outre garder la ligne, de remettre toutes mes pendules à l’heure! C’est que je réfléchis beaucoup en joggant. Et avec mon iPod qui me crachent de la musique dans les oreilles, je me crée une bulle et je refais mon monde dans ma tête.

Première constatation : on retrouve dans ce quartier bien des petits maris qui travaillent, puisqu’il y a bien des « sages dames » comme moi qui joggent! Elles ne courent jamais seules. Sans doute pour discuter un peu. Personnellement, j’en serais incapable. De plus, elles sont élégantes dans leur tenue, les cheveux bruns pour la plupart, le teint basané, des seins énormes (je ne fais pas le poids avec mes 34b!), attirant un peu plus l’attention des curieux qui ne se gênent pas pour regarder.

Est-ce qu’on me regardait, moi? Je l’ignore, car je suis toujours dans ma bulle. Par contre, j’ai quand même pu détecter quelques beaux spécimens.

Plus tard, sous la douche, un doute me prit tout à coup :

Y en a-t-il un dans tout ce lot qui s’est arrêté de travailler pour me contempler?

Y en a-t-il un dans tout ce lot qui s’est dit « elle, un jour, je vais me la faire? »

Peut-être cet homme sur ce chantier au coin de ma rue? Ses beaux bras musclés et ses pectoraux que je semblais bien deviner sous son t-shirt… Celui-là a bel et bien crevé ma bulle!

Rien que d’y penser, cela m’a donné tout chaud partout! Dans la vapeur d’eau, un corps, le mien, s’anime tout à coup. Une main baladeuse, tête chercheuse de pulsion, quitte mon ventre et glisse sur ma peau savonneuse jusqu’à ma fente étroite.

C’est toi, bel inconnu, qui me fait cet effet soudain… Oui, c’est toi. Tu avais fière allure à piocher la terre… Tu aurais sans doute voulu me suivre jusqu’à chez moi, n’est-ce pas? Et que serait-il passé ensuite? La peau trempée par la sueur, sans doute qu’une douche s’impose aussi pour toi…

Pas le temps d’aller chercher mon bidule bleue. Mon majeur fera très bien l’affaire. Le prenant pour son sexe, je l’entre profondément dans ma chatte…

Je me surprends à lui parler… Ah oui… Prends-moi… Je veux que ça dure longtemps… Je l’imagine derrière moi, ses grosses mains d’ouvrier me tripotant les nichons, alors qu’il me plante sa queue dans mon sexe… J’en redemande encore et encore…

Comment vais-je retourner jogger sans me sentir coupable maintenant?

Sophie

Un mari repentant d’avoir osé lever le nez sur une petite matinée sexe, ça ressemble à peu près à ça :

-Ah! Ma chérie! J’ai pensé à toi toute la journée. À un moment donné, c’était trop, je suis allé aux toilettes me masturber!

À ce point! J’imagine très bien la scène. Le sexe gonflé dans son pantalon, il n’ose plus vraiment se lever. Et il a une réunion dans quinze minutes! Que faire? Penser à autre chose, mais c’est impossible. Mon image de femme en manque, toute écartée sur le lit douillet de notre chambre, le hante trop. Flairant l’occasion, il quitte son siège et se précipite à la toilette pour en finir. Après s’être assuré qu’il soit seul, il descend son pantalon, s’assied sur le siège de la cuvette et s’active en se fermant les yeux.

Comment pense-t-il à moi? Suis-je seule ou avec lui? À moins qu’un de ses amis se tape une baise avec moi? Ou mon amie MJ?

Pauvre petit. J’espère qu’il ne fut pas en retard à sa réunion… J’espère aussi qu’il a pensé à se laver les mains parce que ça sent fort, le foutre!

Pour se faire pardonner, sans doute cherchera-t-il à me faire succomber. Il me comblera alors de baisers dans le cou alors qu’une de ses mains ira se balader au hasard entre mes seins et mon entrecuisse.

Je repousserai gentiment ses avances, prétextant que je n’ai pas le temps ou le goût de m’envoyer en l’air avec lui. Il montera à son bureau et, après environ une quinzaine de minutes, je commencerai à éprouver quelques chaleurs, provoquées à une croissante envie de ses coups de langue sur ma chatte. J’irai le rejoindre, le prendrai par le cou et je chuchoterai à son oreille que je le veux nu dans notre chambre, séance tenante. Bien entendu, je me serais d’abord assuré que le petit dorme profondément. Et, pour être certaine de laisser libre cours à ma bruyante jouissance, je fermerai la porte de sa chambre puis la nôtre.

Pour le reste, vous avez sans doute une idée de ce qui s’est produit. Le sexe laisse tomber nos masques et exhibe notre côté animal. Derrière mes jolis vêtements et mes allures de femme rangée dort une tigresse au sommeil léger. C’est la maîtresse de mes pulsions les plus fauves, les plus osées, parfois même les plus scabreuses.

Elle me plaque sur le lit et m’ordonne de me laisser faire. De la bouche au ventre, en passant par les seins, comme toujours, le cou, je suis couverte par les baisers fous de mon mari, alors que les doigts de sa main droite s’activent dans ma chatte qui se transforme en torrent de cyprine.

Mon entrecuisse se mouille et bientôt, ce doux nectar parfumera mes seins puisque de ses mains moites, il les caressera énergiquement tout en léchant frénétiquement mon clito et mes grandes lèvres de sa succulente langue de kiss… D’un coup, je me retournerai pour sucer mon mari alors qu’il s’attardera à brouter mon sexe. Un 69 des plus réussis…

Fatiguée de lui pomper le dard, je m’avance et me place en levrette pour la grande finale. La jouissance la plus céleste parce que la pénétration est plus profonde.

Comblée, je suis! Et demain? Demain est, bien sûr, un autre jour. Je retournerai dans ma solitude de femme bourgeoise au foyer, seule avec mes fantasmes et mon joli bidule vibrant que j’ai surnommé Nestor. Un domestique imaginaire? Peut-être. Entre-temps, il faut que je pense à me faire des amies. Il y a beaucoup de mamans comme moi qui, entre autres, font leur jogging toute pomponnée, dans des vêtements de sport assez sexy. Les gars de la construction qui s’affairent à construire d’autres châteaux ailleurs dans le quartier les regardent filer, une bosse dans le jeans…

Et si je me remettais au jogging?

Sophie

Lundi. J’aurais aimé qu’il parte en retard aujourd’hui. Qu’il vienne reconduire avec moi le petit à l’école pour qu’ensuite, il me suive jusqu’à notre chambre et que je puisse enfin jouir à ma guise, selon le volume désiré!

Quand il me lèche, mon mari n’est pas un simple débutant. Il sait où se trouve mon clito, le baise, le mordille et le caresse de sa longue langue de Kiss, comme je la surnomme parfois.

Il ose même parfois, avec un pouce, caresser le contour de mon troufignon. Ça me fait perdre la tête et j’ai envie d’hurler, mais j’ai toujours peur qu’il m’entende… Qui ça, « il »? Le petit.

-Ne t’inquiète pas, il dort, les portes sont fermées, laisse-toi aller ma chérie… Me murmure-t-il, alors que ma croupe lui est toute offerte devant sa figure.

-Lundi matin, arrive en retard au boulot. Je pourrais plus m’abandonner tu sais, plus…

-Mais je dois me rendre tôt au travail. Allez, n’aie pas peur…

Facile à dire! J’aime le sexe, j’aime l’exprimer vivement, si vous voyez ce que je veux dire. Mais je veux le faire aussi librement! Je sais que mon petit garçon dort à poings fermés, qu’il n’y a rien à craindre, que dans notre ancienne maison, plus petite que celle où je vis aujourd’hui, je m’étais abandonné maintes fois sans danger. Or, ça beau être grand ici, ça peut être écho aussi!

-Lundi matin, mon chéri, pense à tout ce que je vais te faire…

Rien n’y fit. Après avoir joui, je me suis contenté d’une missionnaire, un peu pour le punir, sachant qu’il a encore plus de difficulté à contrôler son éjaculation… Comme d’habitude, il s’est confondu en excuses, etc.

Ce matin, il est parti à 7 h. Je suis allée reconduire le petit à son école privée à 8 h 30 pour être de retour dans ma grande maison à 9 h. Pendant un bref instant, j’ai eu le fixe pour un amant. Dans mon quartier, il y a tant de beaux italiens qui s’occupent des travaux paysagers des nombreux châteaux sur ma rue. Des grassouillets, certes, mais aussi des musclés aux dents blanches, vêtus de t-shirts ajustés… Une idée folle m’a pris, soit prendre un bain les stores ouverts. Peut-être m’apercevront-ils?

L’idée m’a donné chaud tout partout. À genoux dans l’eau, on ne voyait que ma silhouette de la tête jusqu’au nombril. Je me savonnais mes seins de façon sulfureuse, comme si j’envoyais un message. La dame de maison est à prendre, chers amis. Venez sonner à ma porte et me prendre comme je le mérite. Dans la chambre des maîtres, vous serez mes nouveaux maîtres…

Pour jouer davantage avec l’interdit, ma main droite prit le chemin de mon sexe. Regardez-moi jouir maintenant, dans ce peep show de quartier huppé… J’ai terminé le tout avec le vibro de MJ qui me labourait la chatte. J’agrippais l’engin de ma main chaude alors qu’avec la droite, je tenais le rebord du bain. Une levrette rien que pour vous, messieurs. Maniez-vous mieux les femmes ou vos tondeuses? Si j’avais pu, j’aurais ouvert les fenêtres pour qu’on m’entende hurler.

Ai-je été vraiment aperçu? Ai-je fait la joie de quelques voyeurs? Je l’ignore. J’ai terminé cette séance dans mon lit. Ce fut terriblement bon!

Et après? Après, il fallait faire le marché. Dans les allées, j’avais le regard pétillant, peut-être un brin lascif. Si je ne me fais pas d’amies d’ici quelques semaines, je deviendrai une vilaine dépendante du sexe, moi! Disons que c’est bien parti pour ça en tout cas…

Sophie

La jeune brunette qui, après sa douche, se jette sur son lit, bien emmitouflée dans sa robe de bain en ratine blanche en disant « wow » s’est probablement branlée. J’en suis certaine!

Je ressens la même allégresse qu’elle à l’exception que je suis nue. Couchée sur mon grand lit encore défait, j’ai moi aussi lâché un « wow » de bonheur… Quelle formidable invention que le vibromasseur! Mon amie MJ m’en a fait cadeau, pressentant qu’une certaine monotonie allait me guetter dans ce quartier de cul cousus.

Au départ, j’étais gênée d’accepter pareil cadeau. Après tout, je me considère sexuellement comblée, sauf qu’à certaines occasions, mon mari éprouve certaines difficultés à contrôler ses éjaculations.

Il aura beau se confondre en excuses et j’aurai beau lui dire que ce n’est pas grave, jouir comme une chatte en me faisant défoncer longtemps le vagin, disons que j’aimerais bien connaître cette sensation!

Étonnée ? Oui, mon mari est mon premier amant… Je n’ai jamais couché avec un autre homme que lui. Sauf que sa manie à tirer rapidement du canon… Ce vibromasseur allait peut-être apaiser certaines frustrations reliées à tout ça?

-Wow! Qu’est-ce que tu fais avec ça?

-C’est pour pimenter un peu plus nos ébats de ce soir, mon amour!

-Mais tu crois que cet engin de caoutchouc va supplanter ma large et titanesque tige?!

-Ah! Mon chéri! Que d’humour tu as…

Nous avons relégué le vibro dans son tiroir puis, tout de go, le mari s’allonge sur le dos, tenant sa prétendue « vigoureuse et titanesque » queue entre les mains. Je l’ai alors chevauché, glissé son sexe dans le mien puis entrepris ma « galopade ». Bien entendu, après 15 secondes, « je n’ai pu me contrôler ma chérie, c’était trop bon ».

Ce n’est que ce matin, dans le calme de cette grande maison, que j’ai ressorti l’engin, cet amant que l’on dit extraordinaire, qui ne se fatigue jamais et qui fonctionne à piles. Ma copine est chouette, son cadeau peut aller dans l’eau. Donc, ce sera l’amour sous la douche comme jamais, semble-t-il, je ne l’ai subi…

Avant, je me suis savonnée tout le corps, en m’attardant sur mes zones érogènes. D’abord mes seins puis mes hanches. Ça donne chaud partout et j’aime bien cette sensation! Je me rince et je laisse mes mains galoper jusqu’à mon sexe. C’est que le « gros truc bleu » qui attend patiemment de sonder les profondeurs de ma chatte me fait un peu peur. Sans doute pas pour très longtemps… J’ignore si c’est l’excitation d’essayer une chose nouvelle, mais on dirait que je viens un peu plus rapidement que d’habitude. Ce sera difficile pour moi de contrôler mes ardeurs lorsque viendra le temps de me planter ce bidule dans la chatte.

D’ailleurs, elle le réclame, ce vibro. Elle en salive! Je mouille comme jamais auparavant. Allez, plus le droit d’attendre maintenant. Je m’accroupis sous l’eau chaude et, doucement, je fais glisser cette queue vibrante en caoutchouc entre les parois humides de mon sexe.

Oooooh! Je retiens mon souffle et je commence un mouvement de va-et-vient. La sensation est trop forte, je m’assied sur les tuiles et j’ouvre tout grand. C’est ainsi que mon amant imaginaire va me prendre… C’est facile, cet homme si talentueux et compréhensible de mes besoins sensuels, c’est mon mari. Je m’imagine mal penser à quelqu’un d’autre dans une telle situation.

C’est trop bon! À peine une dizaine de coups dans ma chatte et j’hurle déjà! Il ne faut pas que ce soit si vite. Je veux ralentir la cadence, mais mon sexe me commande autre chose. Je voudrais changer de position et me mettre à quatre pattes sur la tuile, mais trop tard… je suis venu.

Flûte! Cela a duré une trentaine de secondes, pas plus. Je n’aurais peut-être pas dû penser à mon mari… Toujours assise, le corps détrempé et la chatte bouillante de plaisir, je me surprends à m’excuser auprès du bidule en caoutchouc! Quelle honte…

Le reste de la journée, je l’ai passé au lit à tenter d’apprivoiser mon vibromasseur. Tout un avant-midi de baise en solo, alors que mon mari marche sur de la pelouse en poursuivant une balle qu’il tape avec des bâtons… S’il avait su, sans doute serait-il resté à la maison à me regarder!

Sophie

Entrer votre adresse e-mail pour vous inscrire à ce blog et recevoir les notifications des nouveaux articles par courriel.

Rejoignez les 26 autres abonnés

Archives coquins