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Hier, soirée cinéma avec Séverine. Au Quartier Latin, on y présentait Le Concert. Séverine voulait le voir. J’ai dit OK. Je portais ma jupe courte et mon slip rouge en soie. Je voulais que ça glisse bien si ma belle souhaitait caresser ma chatte pendant la projection du film. Il n’y avait presque personne dans la salle, ce qui allait peut-être nous permettre d’agir comme de mauvaises femmes… Séverine me caressait la cuisse sans aller plus loin. C’était déjà bien assez pour me mettre dans une drôle d’ambiance. Je n’allais pas être déçu.

-Tu viens chez moi prendre un café?

Le code pour s’éclater. Baisers fous tout partout, 69 dans le salon, la bouche de Séverine qui fait honneur à mon sexe, la jouissance qui monte et qui monte au son du jazz qui sort du système de son. Je me rappelle brièvement que Jean aime le jazz. Elle mange trop bien, je suis incapable de me concentrer sur son sexe. Alors? Je me laisse aller et je m’occupe de Séverine avec mes doigts agiles.

Nuit sans histoire, mais au petit matin, mon appétit sexuel s’impose. Petit mari le sait tout de suite quand il sent mes caresses sur son torse. Ses mains filent tout de suite vers l’essentiel, soit ma chatte mouillée. Je lui susurre à l’oreille que je veux jouir, peut importe la manière. Couchée sur son ventre, mon sexe se paie une belle séance de frottage. Puis au cours du cunninlingus, un avant-goût de sodomie qui provoque en moi de petits cris de bonheur alors que son pouce pénètre un peu plus dans mon anus. On ne se contente plus de le caresser… J’imagine une queue à la place d’un doigt, mais je n’ose pas encore demander. Il faudrait bien, un jour!

Ça augure bien pour la fin de semaine, alors que Jean et sa famille viennent coucher au chalet. Je rêve d’un bain de minuit et de bien d’autres choses avec lui! Il faut dire que la balle est dans son camp, si vous voyez ce que je veux dire (voir cette autre chronique où je raconte comment je l’ai sucé chez moi).

Sophie

Un mari repentant d’avoir osé lever le nez sur une petite matinée sexe, ça ressemble à peu près à ça :

-Ah! Ma chérie! J’ai pensé à toi toute la journée. À un moment donné, c’était trop, je suis allé aux toilettes me masturber!

À ce point! J’imagine très bien la scène. Le sexe gonflé dans son pantalon, il n’ose plus vraiment se lever. Et il a une réunion dans quinze minutes! Que faire? Penser à autre chose, mais c’est impossible. Mon image de femme en manque, toute écartée sur le lit douillet de notre chambre, le hante trop. Flairant l’occasion, il quitte son siège et se précipite à la toilette pour en finir. Après s’être assuré qu’il soit seul, il descend son pantalon, s’assied sur le siège de la cuvette et s’active en se fermant les yeux.

Comment pense-t-il à moi? Suis-je seule ou avec lui? À moins qu’un de ses amis se tape une baise avec moi? Ou mon amie MJ?

Pauvre petit. J’espère qu’il ne fut pas en retard à sa réunion… J’espère aussi qu’il a pensé à se laver les mains parce que ça sent fort, le foutre!

Pour se faire pardonner, sans doute cherchera-t-il à me faire succomber. Il me comblera alors de baisers dans le cou alors qu’une de ses mains ira se balader au hasard entre mes seins et mon entrecuisse.

Je repousserai gentiment ses avances, prétextant que je n’ai pas le temps ou le goût de m’envoyer en l’air avec lui. Il montera à son bureau et, après environ une quinzaine de minutes, je commencerai à éprouver quelques chaleurs, provoquées à une croissante envie de ses coups de langue sur ma chatte. J’irai le rejoindre, le prendrai par le cou et je chuchoterai à son oreille que je le veux nu dans notre chambre, séance tenante. Bien entendu, je me serais d’abord assuré que le petit dorme profondément. Et, pour être certaine de laisser libre cours à ma bruyante jouissance, je fermerai la porte de sa chambre puis la nôtre.

Pour le reste, vous avez sans doute une idée de ce qui s’est produit. Le sexe laisse tomber nos masques et exhibe notre côté animal. Derrière mes jolis vêtements et mes allures de femme rangée dort une tigresse au sommeil léger. C’est la maîtresse de mes pulsions les plus fauves, les plus osées, parfois même les plus scabreuses.

Elle me plaque sur le lit et m’ordonne de me laisser faire. De la bouche au ventre, en passant par les seins, comme toujours, le cou, je suis couverte par les baisers fous de mon mari, alors que les doigts de sa main droite s’activent dans ma chatte qui se transforme en torrent de cyprine.

Mon entrecuisse se mouille et bientôt, ce doux nectar parfumera mes seins puisque de ses mains moites, il les caressera énergiquement tout en léchant frénétiquement mon clito et mes grandes lèvres de sa succulente langue de kiss… D’un coup, je me retournerai pour sucer mon mari alors qu’il s’attardera à brouter mon sexe. Un 69 des plus réussis…

Fatiguée de lui pomper le dard, je m’avance et me place en levrette pour la grande finale. La jouissance la plus céleste parce que la pénétration est plus profonde.

Comblée, je suis! Et demain? Demain est, bien sûr, un autre jour. Je retournerai dans ma solitude de femme bourgeoise au foyer, seule avec mes fantasmes et mon joli bidule vibrant que j’ai surnommé Nestor. Un domestique imaginaire? Peut-être. Entre-temps, il faut que je pense à me faire des amies. Il y a beaucoup de mamans comme moi qui, entre autres, font leur jogging toute pomponnée, dans des vêtements de sport assez sexy. Les gars de la construction qui s’affairent à construire d’autres châteaux ailleurs dans le quartier les regardent filer, une bosse dans le jeans…

Et si je me remettais au jogging?

Sophie

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