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Ce soir, j’ai vraiment envie de lui…

Ce soir, lorsque toute la maison sera silencieuse, je m’occuperai personnellement de lui…

Ces temps-ci, je le néglige. Mais ce soir, dans le confort de notre chambre, je ferai amende honorable…

Aujourd’hui, rien que pour lui, en fait rien que pour ses yeux, je me suis achetée un nouvel ensemble de porte-jarretelles et une culotte en soie noir avec guêpière assortie.

Je me sens, comment dire, férocement cochonne, et ce, pour lui… Pour petit mari, mon grand amour, mon premier amant.

Je laisserai de côté mes pensées perverses pour les autres qui peuplent mon univers érotique. Trevor, MJ, Irene, Séverine, André (qui s’essaie avec des courriels enflammés), mon grand noir le temps d’un trio fauve il n’y a pourtant pas si longtemps.

Une femme, une maîtresse, une salope…

Tout cela dans un seul corps, pour mon petit mari qui mérite que je m’épanche pour qu’il me prenne à sa guise en levrette, qui mérite que je ne pense pas qu’à mes désirs, mais aussi aux siens, qui mérite que je le suce jusqu’à ce qu’il m’éclabousse le corps avec son foutre, qui mérite que je le laisse frotter la paroi de mon petit anus avec ses deux pouces quand il me mange, qui mérite d’aller plus loin, d’entrer ses doigts, voire même son sexe, dans l’orifice le plus tabou et le plus excitant de l’anatomie humaine…

Pendant le repas et pendant les leçons du petit, je serai en feu pour toi. Et lorsque les conditions le permettront, je te brûlerai toi aussi!

Sophie

Nuit de samedi à dimanche…

Je me sentais bien seule dans mon lit, beaucoup trop grand pour cause de Petit Mari fringant, mais parti en voyage d’affaires.

Pour se changer les idées, aussi bien regarder un grand noir baiser sur la plage, dans la forêt vierge ou dans des huttes avec de jeunes femmes attirantes!

Et où vais-je trouver tout ça?

Tropiques de l’amour

Ça joue à Bleu Nuit, cette série érotique. Ça met en scène des femmes qui apprennent la séduction dans une sorte de Club Med de la baise (pléonasme), sous, sur ou en levrette devant un instructeur noir bien baraqué. Elles expérimentent aussi entre elles en s’embrassant goulument, en se bécotant les seins puis en s’enduisant le corps d’huile, dans le cadre de massages sensuels.

Ce noir costaud au corps magnifique et bien découpé, je me le ferais bien! Sa queue, aux proportions sans doute gigantesque que s’insère tout doucement dans ma chatte qui se lubrifie abondamment pour permettre à se mastodonte de passer sans embûches… Lui, couché sur le plage et moi, en plein jour, menant ma marche vers la jouissance.

Or, dès que j’allais atteindre le climax avec mon vibro, voilà qu’une image de Séverine apparaîssait dans ma tête.

Elle veut terminer ce qu’elle a commencé aujourd’hui, dans ma salle de bain… La coquine… La petite allumeuse… Je pensais à ces jours où, dans la douche au collège, je sentais qu’elle m’épiait parfois. Moi aussi je la regardais, mais simplement parce que j’enviais la grosseur de ses seins. Les miens… les miens, c’était du 34 b aussi gros qu’un gros poing fermé.

Dans la vapeur d’eau, je me savais désirée par elle. Je me savais belle à ses yeux, alors que les garçons passaient sans me voir.

Ah! Séverine qui prenait toujours ma défense, qui savait quels mots choisir pour me requinquer après une déconfiture amoureuse. «Bah! Tu es trop bien pour lui! Il n’a pas remarqué ta douceur, ta beauté…» et elle prenait alors ma main et je lisais dans ses yeux ce simple message qui disait «moi, je t’aime, Sophie. Si seulement tu pouvais aimer les femmes…»

Avec mon gant vibrant, je pensais à elle, ma bonne amie, toujours éprise de moi et de mes courbes, je pensais à tout ce qu’elle m’aurait fait dans la salle de bain. Mes sentiments pour elle sont devenus quelque peu confus. Je réalise que je suis peut-être bi-curieuse?

Je me tournais et me retournais sur mon lit, ma main vibrante occupée à frotter mon sexe de haut en bas. Je ne pouvais arrêter ce manège tant et aussi longtemps que j’avais joui. Et tant pis si une femme était mon fantasme à ce moment-là.

Sophie

Se passer de cunnilingus est :

a) Une hérésie

b) Un crime contre l’humanité

c) Toutes ses réponses

Je vous laisse deviner ma réponse…

Je serais prête à n’importe quelle bassesse pour un cunnilingus…

Une bouche gourmande qui vous embrasse la chatte et vous mordille le bouton magique, suivie d’une chaude langue un peu rugueuse qui vous lèche et pénètre votre vulve jusqu’à ce qu’orgasme s’en suive… L’heureux mélange de salive et de cyprine qui mouille tout mon sexe et l’intérieur de mes cuisses… Complètement fan, je vous dit… mais pas avant qu’on me démarre à la main!

Ma position favorite est le face-sitting. Certaines l’appellent la position d’Andromaque. C’est la plus stimulante parce que je me sens particulièrement cochonne lorsque je « chevauche » la figure de petit mari… J’ai bien le droit d’avoir mes petites perversités, non?

Je place ma chatte à la hauteur de son visage puis je me penche comme pour une levrette. Je plaque mes mains sur la tête ou le pied du lit. Je m’offre. Une soumission totale. Les seins qui pendent, à la merci de caresses. Les fesses entrouvertes aussi avec mon troufignon qui ne refusera pas un petit pouce curieux venir frotter sa paroi. Ne pas voir, surtout… Ce qui accentue la jouissance.

Ce soir, dans le cadre de la fête des mères, ce sera le cadeau que je voudrai lorsque fiston sera couché et dormira profondément. Je voudrai petit mari couché sur le dos et mon sexe « ouvert » à ses plus belles caresses!

Sophie

J’ai mis ma « menace » à exécution…

Alors que petit mari était au travail (un peu fatigué, le pauvre…), je suis allée explorer mon nouveau quartier au pas de course. Une promenade 30 minutes au soleil, vêtue de mon short noir et de ma camisole blanche. Une queue de cheval pour nouer ma tignasse brune, un peu d’huile pour bronzer sportive (et non idiote) et me voilà partie!

J’aime courir, soit dit en passant. Jogger me permet, outre garder la ligne, de remettre toutes mes pendules à l’heure! C’est que je réfléchis beaucoup en joggant. Et avec mon iPod qui me crachent de la musique dans les oreilles, je me crée une bulle et je refais mon monde dans ma tête.

Première constatation : on retrouve dans ce quartier bien des petits maris qui travaillent, puisqu’il y a bien des « sages dames » comme moi qui joggent! Elles ne courent jamais seules. Sans doute pour discuter un peu. Personnellement, j’en serais incapable. De plus, elles sont élégantes dans leur tenue, les cheveux bruns pour la plupart, le teint basané, des seins énormes (je ne fais pas le poids avec mes 34b!), attirant un peu plus l’attention des curieux qui ne se gênent pas pour regarder.

Est-ce qu’on me regardait, moi? Je l’ignore, car je suis toujours dans ma bulle. Par contre, j’ai quand même pu détecter quelques beaux spécimens.

Plus tard, sous la douche, un doute me prit tout à coup :

Y en a-t-il un dans tout ce lot qui s’est arrêté de travailler pour me contempler?

Y en a-t-il un dans tout ce lot qui s’est dit « elle, un jour, je vais me la faire? »

Peut-être cet homme sur ce chantier au coin de ma rue? Ses beaux bras musclés et ses pectoraux que je semblais bien deviner sous son t-shirt… Celui-là a bel et bien crevé ma bulle!

Rien que d’y penser, cela m’a donné tout chaud partout! Dans la vapeur d’eau, un corps, le mien, s’anime tout à coup. Une main baladeuse, tête chercheuse de pulsion, quitte mon ventre et glisse sur ma peau savonneuse jusqu’à ma fente étroite.

C’est toi, bel inconnu, qui me fait cet effet soudain… Oui, c’est toi. Tu avais fière allure à piocher la terre… Tu aurais sans doute voulu me suivre jusqu’à chez moi, n’est-ce pas? Et que serait-il passé ensuite? La peau trempée par la sueur, sans doute qu’une douche s’impose aussi pour toi…

Pas le temps d’aller chercher mon bidule bleue. Mon majeur fera très bien l’affaire. Le prenant pour son sexe, je l’entre profondément dans ma chatte…

Je me surprends à lui parler… Ah oui… Prends-moi… Je veux que ça dure longtemps… Je l’imagine derrière moi, ses grosses mains d’ouvrier me tripotant les nichons, alors qu’il me plante sa queue dans mon sexe… J’en redemande encore et encore…

Comment vais-je retourner jogger sans me sentir coupable maintenant?

Sophie

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