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Moi en plein ébat

Moi en plein ébat

Je m’amuse… Afin de marquer la fin des vacances de Noël, j’ai offert un dernier cadeau de Noël à Petit Mari avant le retour au boulot, c’est-à-dire une soirée champagne et portes-jarretelles.

Nous avions immortalisé pour la première fois nos ébats sur vidéo. Malheureusement, l’expérience ne fut pas concluante. Oh! Savoir qu’un objectif de caméra était braqué sur moi m’a particulièrement allumé. Or, l’endroit où nous l’avions placé fut finalement une mauvaise idée.

D’abord, on ne voit pas grand chose. Ensuite, j’ai envoyé balader un oreiller, ce qui obstrué une partie de la vue. Ce cliché est probablement le plus excitant, alors que Petit Mari se tenait derrière moi et plantait deux doigts dans ma chatte pendant qu’il me caressait le ventre et les seins.

Sur ce, je vous souhaite une bonne année 2013. Que vos désirs soient « désordre » dans le lit ou ailleurs, en bonne compagnie.

Sophie xxx

Cela s’est passé hier soir. Le démon du midi… En retard, petit galopin! 

Uniquement pour le plaisir de le voir rougir, j’ai joué à nouveau avec le feu. J’étais au courant de ses problèmes de couple. D’ailleurs, avec le temps, je suis devenue sa confidente. Mon entraîneur passe une mauvaise période. Je le savais libre et moi, si accro à mon corps si bien sculpté.

Pendant les étirements, les redressements assis, les haltères et tout le reste, j’ai fait l’allumeuse. La terrible, comme celles qui enflamment les cours d’aérobie avec leurs démarches lubriques dans un corps parfaitement moulée dans une combinaison seyante et ajustée…

Après chaque séance, j’ai le désir qui me consume et lorsque Petit mari revient du travail, dès que le petit finit par s’endormir, je me déchaîne et baise en m’imaginant que c’est lui qui me touche, me mange goulûment la chatte et me défonce avec force.

Or, cette fois-ci, mes mains sur tes hanches n’étaient pas anodines, ni mes chuchotements dans l’oreille pour te dire que si tu avais besoin de quoi que ce soit, en rapprochant mes seins le plus proche possible de tes pectoraux… Ce fut un simple bec, mais je suis capable de bien plus.

Sophie

Ce soir, j’ai vraiment envie de lui…

Ce soir, lorsque toute la maison sera silencieuse, je m’occuperai personnellement de lui…

Ces temps-ci, je le néglige. Mais ce soir, dans le confort de notre chambre, je ferai amende honorable…

Aujourd’hui, rien que pour lui, en fait rien que pour ses yeux, je me suis achetée un nouvel ensemble de porte-jarretelles et une culotte en soie noir avec guêpière assortie.

Je me sens, comment dire, férocement cochonne, et ce, pour lui… Pour petit mari, mon grand amour, mon premier amant.

Je laisserai de côté mes pensées perverses pour les autres qui peuplent mon univers érotique. Trevor, MJ, Irene, Séverine, André (qui s’essaie avec des courriels enflammés), mon grand noir le temps d’un trio fauve il n’y a pourtant pas si longtemps.

Une femme, une maîtresse, une salope…

Tout cela dans un seul corps, pour mon petit mari qui mérite que je m’épanche pour qu’il me prenne à sa guise en levrette, qui mérite que je ne pense pas qu’à mes désirs, mais aussi aux siens, qui mérite que je le suce jusqu’à ce qu’il m’éclabousse le corps avec son foutre, qui mérite que je le laisse frotter la paroi de mon petit anus avec ses deux pouces quand il me mange, qui mérite d’aller plus loin, d’entrer ses doigts, voire même son sexe, dans l’orifice le plus tabou et le plus excitant de l’anatomie humaine…

Pendant le repas et pendant les leçons du petit, je serai en feu pour toi. Et lorsque les conditions le permettront, je te brûlerai toi aussi!

Sophie

En attendant de complètement retrouver la forme, voici un autre petit extrait de mon journal. Je vois que ces histoires reliées à mon passé semblent vous plaire. Je vous en remercie. Merci aussi de ne pas me juger.

Extrait de mon journal

L’attente est interminable. Déjà plus d’une heure que les enfants sont couchés et que les devoirs sont terminés. Sur ma montre, il est 11 h 33.

Un peu plus tôt, sur le divan, des pensées érotiques me sont apparues. Je visualisais le retour à la maison, l’arrêt dans un coin sombre du quartier, les baisers doux au son de son jazz et sa main qui soulèvera ma jupe pour caresser mon sexe, le plaisir qui monte à toute vitesse, les soupirs enivrants, l’au revoir rapide et la portière qui claque. Sauf que dans ma tête, il prenait son temps, libéré des contraintes de me reconduire vite pour ne pas éveiller de soupçons ni chez madame (…), ni chez ma mère. Il prenait son temps, déboutonnait doucement ma blouse et engouffrait ses mains sous ma camisole pour toucher mes seins qui prenait du volume jour après jour., puis en faisait glisser une de mon ventre à mon sexe.

J’écris ces phrases et mon corps redevient encore tout drôle. Couchée sur le divan, je n’ai pu m’empêcher d’ouvrir mes jambes, baisser ma culotte et, timidement, poser ma main sur les lèvres. Cet amour naissant est difficile à vivre. Oui, la différence d’âge y est pour quelque chose. Après tout, j’ai presque 16 ans et lui en a plus que 35. En même temps, il est si beau, si poignant, si cultivé, si attentionné… si cochon aussi! J’ai hâte de faire l’amour avec lui! J’aime sa vigueur lorsqu’il m’embrasse dans l’auto. J’aime ses caresses aussi. Mais je suis curieuse de pouvoir un jour toucher à son pénis! Le temps nous manque toujours. C’est quoi la consistance? Au toucher, ça s’apparente à quoi? Des copines disent qu’on peut même le mettre dans sa bouche… Dans la bouche?

La suite des choses aura été à mon avantage. Une fois stationnée, il leva le volant et me colla sur lui. Après nous être pelotté pendant une dizaine de minutes, il baissa sa braguette et sortit son pénis. Dès lors, j’ai appris le mot « fellation » et surtout… comment en exécuter une avec douceur. Il n’a pas été déçu! Moi non plus d’ailleurs. Il m’avait alors prévenu de la « surprise ». Oui, je savais. J’avais appris le mécanisme de l’appareil reproducteur masculin en classe de bio. La « surprise » fut de recevoir la décharge dans la bouche! Je fus assez minutieuse pour ne rien laisser s’échapper, surtout pas sur ses pantalons. L’entendre jouir fut particulièrement grisant! À la maison, bien au chaud dans mon lit, je me suis caressée en pensant à notre prochaine rencontre. Nous étions dus pour coucher ensemble… Cela arrivera plus vite que je ne l’aurais cru! Bonne nuit, ma petite allumeuse…

 

Sophie

Se caresser, ce n’est pas assez…

Petit mari n’a pas pu terminer son roman policier. Toute excitée que j’étais pas mes infidélités et mes fantasmes galopants, il a eu droit à la totale. Le petit dort, les portes massives de notre chambre sont fermées, je n’ai pas envie de dormir.

Il est comme un scout, Petit mari. Toujours prêt à rendre service. Le sexe bien en l’air, les mains baladeuses, prêtes à vouloir éteindre le feu de tous les moyens possibles… Sa bouche me couvre de baisers tout partout. J’en voudrais d’autres bouches qui parcourent tout mon corps, de même que d’autres mains comme les siennes qui prennent de mes deux orifices.

Je le suce à quatre pattes, la fente bien ouverte et bien exposée, toute désireuse qu’un autre homme entre dans la chambre et s’occupe de moi. Jean, par exemple. Oh oui, Jean… On brûle les étapes? On n’attend pas la branlette espagnole avant de se taper ma jolie chatte? J’esquisse des mouvements du bassin, comme si on me pénétrait vraiment.

Je fais alors demi-tour, prête pour un 69 et ronronner de plaisir. La langue un peu rugueuse de Petit Mari deviendra la clé de ce fantasme en trio. Ah! Qu’il mange bien, ce cher époux… Qu’il sait où frapper, si vous voyez ce que je veux dire. Je l’entends aussi respirer un peu plus fort et…

Première éjaculation. Je suçais un peu trop fort, apparemment. Ce n’est pas grave. Elle ne se reposera pas très longtemps, sa bite… La bouche pleine de foutre, j’avale le tout en vitesse et je me dresse en sculpturale tour sur le visage de mon mari. Il retient mon corps par mes seins. Je tangue doucement, je sombre vers les abîmes du plaisir avec, en pensée, ma belle Séverine, mais aussi mes amies MJ et Irene. À tour de rôle, elles me donnent quelques coups de langue bien sentis. Je réponds en lançant des paroles sales, osées, des mots qu’on ne trouvent pas dans la bouche d’une bourgeoise comme moi… On a tous un côté salope, n’est-ce pas?

La bite reprend vie. C’est le temps de se remettre à quatre pattes. Il faut garder le momentum… La levrette. Profonde et dépravée levrette. Je sens qu’on part à l’aventure… Le mouvement rapide, les deux mains qui m’agrippent par les hanches, les doigts qui pénètrent dans la peau, la douleur… Le frottement, l’intensité et les cris. Je ne pense plus à rien, je jouis!

Merci pour celle-là, Petit Mari. Malheureusement, elle ouvre une semaine de disette. La mer rouge a commencé cet après-midi.

Sophie

Parfois, je me le demande… Petit mari a été mon seul baiseur, ma seule queue gorgée de sang entre mes jambes ouvertes, ma seule langue appliquée avec soin sur chatounette, mes seules mains lâchées en liberté sur mon corps soumis.

Mon seul…

Est-ce assez pour dire que je suis comblée sexuellement, charnellement?

À l’adolescence, j’étais une petite allumeuse, mais trop portée sur la romance pour m’offrir sans amour, juste pour la beauté du sexe et donner de quoi à bouffer à mes pulsions. J’avais beau laisser une main se balader en « zone interdite », sous la douche ou seule dans ma chambre, il fallait peut-être passer de la théorie  la pratique ou du rêve à la réalité.

J’envie parfois MJ qui possède une belle collection d’amants.

J’envie même Séverine qui aurait pu m’inclure dans son tableau de chasse saphique et qui, parfois, trompe sa copine, tantôt en french kisses furtifs, tantôt en aventures torrides sur un sofa de salon ou la douche d’une femme naïve qui se croit vraiment devenir une « femme de sa vie ».

Et je fantasme sur un cadeau… Une sorte de compromis entre ma fidélité et ces tentations de voir ailleurs si la queue est plus grosse et plus vigoureuse qu’ici.

Je m’imagine être offerte à l’homme de mon choix par petit mari, à condition qu’il puisse regarder nos ébats pour son bon plaisir. Par exemple ce bel inconnu qui fait l’objet de mes obsessions, je peux? Ou Enrique, ce jeune homme dans la vingtaine qui tond la pelouse à la maison, je peux?

En échange, je peux te lancer dans les bras de MJ que tu aimes bien regarder de temps à autre… Oui, oui, je t’ai vu perdre de vue la réalité pour te retrouver le regard entre ses deux seins. J’observerai sans peine, assise sur ma chaise de lecture, les doigts mouillées de ma cyprine, prête à venir vous rejoindre. Il y a Dominique aussi, mon autre copine, celle qui est admiration pour tout ce que tu fais…

Et même si ça te fait plaisir, aimerais-tu me voir perdre la tête par les coups de langue de Séverine sur ma chatte à vif qui en redemande?

Sophie

Un mari repentant d’avoir osé lever le nez sur une petite matinée sexe, ça ressemble à peu près à ça :

-Ah! Ma chérie! J’ai pensé à toi toute la journée. À un moment donné, c’était trop, je suis allé aux toilettes me masturber!

À ce point! J’imagine très bien la scène. Le sexe gonflé dans son pantalon, il n’ose plus vraiment se lever. Et il a une réunion dans quinze minutes! Que faire? Penser à autre chose, mais c’est impossible. Mon image de femme en manque, toute écartée sur le lit douillet de notre chambre, le hante trop. Flairant l’occasion, il quitte son siège et se précipite à la toilette pour en finir. Après s’être assuré qu’il soit seul, il descend son pantalon, s’assied sur le siège de la cuvette et s’active en se fermant les yeux.

Comment pense-t-il à moi? Suis-je seule ou avec lui? À moins qu’un de ses amis se tape une baise avec moi? Ou mon amie MJ?

Pauvre petit. J’espère qu’il ne fut pas en retard à sa réunion… J’espère aussi qu’il a pensé à se laver les mains parce que ça sent fort, le foutre!

Pour se faire pardonner, sans doute cherchera-t-il à me faire succomber. Il me comblera alors de baisers dans le cou alors qu’une de ses mains ira se balader au hasard entre mes seins et mon entrecuisse.

Je repousserai gentiment ses avances, prétextant que je n’ai pas le temps ou le goût de m’envoyer en l’air avec lui. Il montera à son bureau et, après environ une quinzaine de minutes, je commencerai à éprouver quelques chaleurs, provoquées à une croissante envie de ses coups de langue sur ma chatte. J’irai le rejoindre, le prendrai par le cou et je chuchoterai à son oreille que je le veux nu dans notre chambre, séance tenante. Bien entendu, je me serais d’abord assuré que le petit dorme profondément. Et, pour être certaine de laisser libre cours à ma bruyante jouissance, je fermerai la porte de sa chambre puis la nôtre.

Pour le reste, vous avez sans doute une idée de ce qui s’est produit. Le sexe laisse tomber nos masques et exhibe notre côté animal. Derrière mes jolis vêtements et mes allures de femme rangée dort une tigresse au sommeil léger. C’est la maîtresse de mes pulsions les plus fauves, les plus osées, parfois même les plus scabreuses.

Elle me plaque sur le lit et m’ordonne de me laisser faire. De la bouche au ventre, en passant par les seins, comme toujours, le cou, je suis couverte par les baisers fous de mon mari, alors que les doigts de sa main droite s’activent dans ma chatte qui se transforme en torrent de cyprine.

Mon entrecuisse se mouille et bientôt, ce doux nectar parfumera mes seins puisque de ses mains moites, il les caressera énergiquement tout en léchant frénétiquement mon clito et mes grandes lèvres de sa succulente langue de kiss… D’un coup, je me retournerai pour sucer mon mari alors qu’il s’attardera à brouter mon sexe. Un 69 des plus réussis…

Fatiguée de lui pomper le dard, je m’avance et me place en levrette pour la grande finale. La jouissance la plus céleste parce que la pénétration est plus profonde.

Comblée, je suis! Et demain? Demain est, bien sûr, un autre jour. Je retournerai dans ma solitude de femme bourgeoise au foyer, seule avec mes fantasmes et mon joli bidule vibrant que j’ai surnommé Nestor. Un domestique imaginaire? Peut-être. Entre-temps, il faut que je pense à me faire des amies. Il y a beaucoup de mamans comme moi qui, entre autres, font leur jogging toute pomponnée, dans des vêtements de sport assez sexy. Les gars de la construction qui s’affairent à construire d’autres châteaux ailleurs dans le quartier les regardent filer, une bosse dans le jeans…

Et si je me remettais au jogging?

Sophie

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