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Ce soir, j’ai vraiment envie de lui…

Ce soir, lorsque toute la maison sera silencieuse, je m’occuperai personnellement de lui…

Ces temps-ci, je le néglige. Mais ce soir, dans le confort de notre chambre, je ferai amende honorable…

Aujourd’hui, rien que pour lui, en fait rien que pour ses yeux, je me suis achetée un nouvel ensemble de porte-jarretelles et une culotte en soie noir avec guêpière assortie.

Je me sens, comment dire, férocement cochonne, et ce, pour lui… Pour petit mari, mon grand amour, mon premier amant.

Je laisserai de côté mes pensées perverses pour les autres qui peuplent mon univers érotique. Trevor, MJ, Irene, Séverine, André (qui s’essaie avec des courriels enflammés), mon grand noir le temps d’un trio fauve il n’y a pourtant pas si longtemps.

Une femme, une maîtresse, une salope…

Tout cela dans un seul corps, pour mon petit mari qui mérite que je m’épanche pour qu’il me prenne à sa guise en levrette, qui mérite que je ne pense pas qu’à mes désirs, mais aussi aux siens, qui mérite que je le suce jusqu’à ce qu’il m’éclabousse le corps avec son foutre, qui mérite que je le laisse frotter la paroi de mon petit anus avec ses deux pouces quand il me mange, qui mérite d’aller plus loin, d’entrer ses doigts, voire même son sexe, dans l’orifice le plus tabou et le plus excitant de l’anatomie humaine…

Pendant le repas et pendant les leçons du petit, je serai en feu pour toi. Et lorsque les conditions le permettront, je te brûlerai toi aussi!

Sophie

En attendant de complètement retrouver la forme, voici un autre petit extrait de mon journal. Je vois que ces histoires reliées à mon passé semblent vous plaire. Je vous en remercie. Merci aussi de ne pas me juger.

Extrait de mon journal

L’attente est interminable. Déjà plus d’une heure que les enfants sont couchés et que les devoirs sont terminés. Sur ma montre, il est 11 h 33.

Un peu plus tôt, sur le divan, des pensées érotiques me sont apparues. Je visualisais le retour à la maison, l’arrêt dans un coin sombre du quartier, les baisers doux au son de son jazz et sa main qui soulèvera ma jupe pour caresser mon sexe, le plaisir qui monte à toute vitesse, les soupirs enivrants, l’au revoir rapide et la portière qui claque. Sauf que dans ma tête, il prenait son temps, libéré des contraintes de me reconduire vite pour ne pas éveiller de soupçons ni chez madame (…), ni chez ma mère. Il prenait son temps, déboutonnait doucement ma blouse et engouffrait ses mains sous ma camisole pour toucher mes seins qui prenait du volume jour après jour., puis en faisait glisser une de mon ventre à mon sexe.

J’écris ces phrases et mon corps redevient encore tout drôle. Couchée sur le divan, je n’ai pu m’empêcher d’ouvrir mes jambes, baisser ma culotte et, timidement, poser ma main sur les lèvres. Cet amour naissant est difficile à vivre. Oui, la différence d’âge y est pour quelque chose. Après tout, j’ai presque 16 ans et lui en a plus que 35. En même temps, il est si beau, si poignant, si cultivé, si attentionné… si cochon aussi! J’ai hâte de faire l’amour avec lui! J’aime sa vigueur lorsqu’il m’embrasse dans l’auto. J’aime ses caresses aussi. Mais je suis curieuse de pouvoir un jour toucher à son pénis! Le temps nous manque toujours. C’est quoi la consistance? Au toucher, ça s’apparente à quoi? Des copines disent qu’on peut même le mettre dans sa bouche… Dans la bouche?

La suite des choses aura été à mon avantage. Une fois stationnée, il leva le volant et me colla sur lui. Après nous être pelotté pendant une dizaine de minutes, il baissa sa braguette et sortit son pénis. Dès lors, j’ai appris le mot « fellation » et surtout… comment en exécuter une avec douceur. Il n’a pas été déçu! Moi non plus d’ailleurs. Il m’avait alors prévenu de la « surprise ». Oui, je savais. J’avais appris le mécanisme de l’appareil reproducteur masculin en classe de bio. La « surprise » fut de recevoir la décharge dans la bouche! Je fus assez minutieuse pour ne rien laisser s’échapper, surtout pas sur ses pantalons. L’entendre jouir fut particulièrement grisant! À la maison, bien au chaud dans mon lit, je me suis caressée en pensant à notre prochaine rencontre. Nous étions dus pour coucher ensemble… Cela arrivera plus vite que je ne l’aurais cru! Bonne nuit, ma petite allumeuse…

 

Sophie

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