En attendant de complètement retrouver la forme, voici un autre petit extrait de mon journal. Je vois que ces histoires reliées à mon passé semblent vous plaire. Je vous en remercie. Merci aussi de ne pas me juger.
Extrait de mon journal
L’attente est interminable. Déjà plus d’une heure que les enfants sont couchés et que les devoirs sont terminés. Sur ma montre, il est 11 h 33.
Un peu plus tôt, sur le divan, des pensées érotiques me sont apparues. Je visualisais le retour à la maison, l’arrêt dans un coin sombre du quartier, les baisers doux au son de son jazz et sa main qui soulèvera ma jupe pour caresser mon sexe, le plaisir qui monte à toute vitesse, les soupirs enivrants, l’au revoir rapide et la portière qui claque. Sauf que dans ma tête, il prenait son temps, libéré des contraintes de me reconduire vite pour ne pas éveiller de soupçons ni chez madame (…), ni chez ma mère. Il prenait son temps, déboutonnait doucement ma blouse et engouffrait ses mains sous ma camisole pour toucher mes seins qui prenait du volume jour après jour., puis en faisait glisser une de mon ventre à mon sexe.
J’écris ces phrases et mon corps redevient encore tout drôle. Couchée sur le divan, je n’ai pu m’empêcher d’ouvrir mes jambes, baisser ma culotte et, timidement, poser ma main sur les lèvres. Cet amour naissant est difficile à vivre. Oui, la différence d’âge y est pour quelque chose. Après tout, j’ai presque 16 ans et lui en a plus que 35. En même temps, il est si beau, si poignant, si cultivé, si attentionné… si cochon aussi! J’ai hâte de faire l’amour avec lui! J’aime sa vigueur lorsqu’il m’embrasse dans l’auto. J’aime ses caresses aussi. Mais je suis curieuse de pouvoir un jour toucher à son pénis! Le temps nous manque toujours. C’est quoi la consistance? Au toucher, ça s’apparente à quoi? Des copines disent qu’on peut même le mettre dans sa bouche… Dans la bouche?
La suite des choses aura été à mon avantage. Une fois stationnée, il leva le volant et me colla sur lui. Après nous être pelotté pendant une dizaine de minutes, il baissa sa braguette et sortit son pénis. Dès lors, j’ai appris le mot « fellation » et surtout… comment en exécuter une avec douceur. Il n’a pas été déçu! Moi non plus d’ailleurs. Il m’avait alors prévenu de la « surprise ». Oui, je savais. J’avais appris le mécanisme de l’appareil reproducteur masculin en classe de bio. La « surprise » fut de recevoir la décharge dans la bouche! Je fus assez minutieuse pour ne rien laisser s’échapper, surtout pas sur ses pantalons. L’entendre jouir fut particulièrement grisant! À la maison, bien au chaud dans mon lit, je me suis caressée en pensant à notre prochaine rencontre. Nous étions dus pour coucher ensemble… Cela arrivera plus vite que je ne l’aurais cru! Bonne nuit, ma petite allumeuse…
Sophie
6 commentaires
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24/02/2011 à 7:11
obsessif
J’adore littéralement cette série. J’adore tout de cette série de récits. Les mots, le rythme, la découverte, l’exploration, le plaisir, le point de vue d’une jeune femme dans ce genre d’aventure, l’innocence et la pudeur mêlée aux multiples désirs qui vont en crescendo. Le tout au travers des yeux d’une jeune femme aventureuse et hors de l’ordinaire. Extraordinaire même.
merci. Et surtout : encore!
25/02/2011 à 7:30
milfringante
Je te remercie sincèrement pour ces beaux commentaires ; )
01/03/2011 à 5:02
rebelq
Jugez quoi? C’est tout simplement sublime. 😉
05/05/2011 à 11:48
Ludie
Milfrie, je découvre ton histoire un peu similaire à la mienne, et si j’ ai pas pu te mettrre 5***** c’ est que je me suis sentie un peu jalouse.
L’année où je suis entrée en seconde (que du coup j’ ai redoublée), juste avant la rentrée, je suis tombée en amour avec le père d’un gars qui allait être dans ma classe en plus.
J’avais 15ans, lui 43… Tu imagines ce que ça me fait de trouver ton texte là?
J’ ai rencontré cet homme parce qu’il avait un cabinet pro à côté du domicile de E mon chéri de l’ époque, et comme il n’ avait pas le téléphone, je l’ appelais au bureau de L.
L. avait été l’amant de C., la maman de E. Et je considérais C. comme ma maman parce que ça passait pas bien avec la mienne.
On se voyait souvent tous ensemble et je me suis attachée à tous.
Un jour E est parti vivre à Paris chez son papa divorcé.
J’ allais toujours chez L., par nostalgie.
Il jouait du piano. Il était célibataire. Moi assez mûre pour mon âge. Portée sur les joies du sexe. j’ avais été déflorée trois mois plutôt et vraiment pas de quoi m’en réjouir , par ce gamin de E. qui m’ a fait comme je pourrais dire pas un travail de pro.
Décidément, ce garçon embrassait bien et caressait bien mes seins.
Mais pour le reste, non seulement il ne m’ a pas fait découvrir le plaisir, mais en plus, il faisait mal.
Désolée, E. Mais tu m’ as pas laissé le même souvenir que ce que je suis restée dans ton coeur. (Il est encore passé me voir l’ été dernier, toujours aussi plein d’émerveillement et de désir dans ses yeux;mais c’ est plus réciproque.)
Donc, bientôt la rentrée. Je vais entrer au lycée. j’ ai fait des pieds et des mains, du chantage à mes parents pour aller dans ce lycée (parce qu’ il y avait E. ) et eux voulaient me mettre dans un truc privé. J’ ai dit que ej me ferais renvoyer.
Il s ne veulent pas prendre cette honte, alors ils ont demandé une dérrogation pour que j’ a
05/05/2011 à 12:15
Ludie
Milfrie, je découvre ton histoire un peu similaire à la mienne, et si j’ ai pas pu te mettre 5***** c’est que je me suis sentie un peu bizarre, une fois de plus, je trouve mon histoire, ou pas loin. Si tu veux la connaître, je raconterai la mienne.
L’année où je suis entrée en seconde (que du coup j’ai redoublée), juste avant la rentrée, je suis tombée en amour avec le père d’un garçon qui allait être dans ma classe en plus.
J’avais 15ans, lui 43… Tu imagines ce que ça me fait de trouver ton texte là?
Et puis c’ éatit pas le premier homme dont je tombais amoureuse, mais le premier avec qui j’ ai passé …Tuu verras.
J’ai rencontré cet homme parce qu’il avait un cabinet pro à côté du domicile de E. mon chéri de l’époque, et comme il n’ avait pas le téléphone, je l’appelais au bureau de L.
L. avait été l’amant de C., la maman de E. Et je considérais C. comme ma maman parce que ça passait pas bien avec la mienne. Je faisais tout toutle temps en cachette. Officiellement, j’ allais jouer avec la soeur de E.
On se voyait souvent tous ensemble et je me suis attachée à tous.
Un jour E. est parti vivre à Paris chez son papa divorcé.
J’allais toujours chez C. pour avoi des nouvelles. je jouais avec la petite soeur ou je passais du temps avec L., par nostalgie ou quand les autres n’ étaient pas là.
L. jouait du piano. Il était divorcé. Je connaissais également sa fille. On jouait tous ensemble; Et puis on avait fait des stages de ski, là où j’ai connu C. la première année, et son fils E. l’année suivante. J’ ai grandi avec eux depuis l’âge de 12 ans et 1/2. Je les aimais plus que ma famille.
Assez mûre pour mon âge. Portée sur les joies du sexe, j’avais été déflorée trois mois plutôt et vraiment pas de quoi m’en réjouir, par ce gamin de E. que je voyais comme un géant, du haut de ses 17ans; qui m’a fait comme je pourrais dire pas un travail de pro.
Décidément, ce garçon embrassait bien et caressait bien mes seins.
Mais pour le reste, non seulement il ne m’ a pas fait découvrir le plaisir, mais en plus, il faisait mal. Il m’ aura appris bien d’autres choses. Je lui dois beaucoup dans la formation de mon caractère par contre.
Désolée, E. Mais tu ne m’as pas laissé le même souvenir que ce que je suis restée dans ton coeur. (Il est encore passé me voir l’été dernier, et il m’ écrit toujours aussi plein de désir mais c’ est plus réciproque.)
Donc, 15 ans et bientôt la rentrée. Je vais entrer au lycée.Jj’ai fait des pieds et des mains, du chantage à mes parents pour aller dans ce lycée (parce quil y avait E. ) et eux voulaient me mettre dans un truc privé sans drogue et sans vilains garçons; Tu parles! J’ai dit que je me ferais renvoyer.
Ils ne veulent pas prendre cette honte, alors ils ont demandé une dérogation pour que j’aille dans un autre qui ne me convient pas. Je veux aller là parce que je sais qu’on y est mal surveillé 😉
Et j’irai.
Et comme je vous ai dit, juste avant la rentrée, je passe mes derniers instants de libres à me faire consoler auprès des gens que j’aime du départ de E. C’était pas prévu 8jours avant.
C. est prof. C’est la pré rentrée et elle retravaille.
L. et moi on est libres, tous seuls, j’ai besoin d’affection, lui d’en donner…
Je me souviens juste qu’à un moment, il jouait du piano. Je me suis approchée par derrière. J’ai posé mes mains sur ses épaules. Il a continué à jouer.
J’ai commencé à lui caresser les épaules. Il jouait toujours. Je suis descendue sur ses pectoraux. L’ai serré de plus près. Il a arrêté de jouer. Il s’est retourné.
On a parlé un peu. J’avais déjà fait beaucoup d’allusions encore juste avant dans la conversation. Je me souviens qu’il avait compris mon désir. Mais ne pouvant y croire, certainement, il avait commencé à jouer. Peut-être pour ne pas me regarder? Pour ne pas être tenté? Pour chasser ses idées que je lui rendais possible?
Il a arrêté de jouer, et nous nous sommes embrassés…
On était en septembre…
09/05/2011 à 3:17
milfringante
Chère Ludie
Je suis désolée que votre expérience n’ait pas été concluante. Je suis désolée aussi d’avoir ramené à la surface des mauvais souvenirs.
Cette idylle m’a permis de me libérer quelque peu de l’éducation stricte de mes parents. Je n’ai manqué de rien avec eux, sauf que leur moralité devenait étouffante. Aux yeux de mes camarades de classe, je passais à coup sûr pour une sainte nitouche. Je n’aurais jamais pensé, toutefois, que j’allais connaître ce qu’on peut appeler les joies du sexe dans les bras de ce monsieur! J’ai été aussi une confidente pour lui, autant qu’une maîtresse.
Ça me fera plaisir d’en discuter plus longuement un jour.
Sophie