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Pour faire suite à ma petite soirée en trio avec Edgar et l’un de ses amis, je me suis permise d’écrire ce petit mode d’emploi sur la baise à trois.

1. Apprendre d’abord à connaître le « troisième »…

Edgar m’avait déjà parlé de lui. Son ami Maurice. Nous avons pris un verre avec lui à quelques occasions. Un type bien, cultivé, musclé, toujours souriant. Un « troisième » parfait…

2. Laisser libre cours à ses sens

Quatre mains et deux bouches, c’est idéal pour stimuler toutes les zones érogènes. On en profite pour se laisser désirer, le dos collé sur le poitrail de Maurice, son sexe qui se faufile entre mes fesses, mon corps à la merci des mains d’Edgar.

3. Savoir être une meneuse

Pour que nos désirs soient des ordres… Me laisser couvrir de baisers le cou et les lèvres de Maurice, pendant que je savoure à ma guise les caresses manuelles et buccales de mon amant. Être à la merci des pulsions des deux autres, mais aussi imposer les miennes.

4. Ne pas négliger les préliminaires

Pendant que Maurice m’embrassait partout, Edgar, lui, prenait un malin plaisir à me lécher la chatte. Après mon premier orgasme, je pourrai m’occuper des queues de ces messieurs…

5. Donner préséance à la personne aimée

Je tenais à ce qu’Edgar me pénètre en premier. Je tenais aussi à alterner fellation et hand job, dépendant de l’intensité à laquelle mon amant allait me faire jouir…

6. Se donner à l’autre

Nous l’avons inspiré et donné des chaleurs pendant de belles et intenses minutes… Après qu’Edgar eut « terminé sa course » dans ma bouche, j’ouvre les jambes et je regarde Maurice. « Tu es prêt? ». Lui aussi veut goûter à ma vulve. Son coup de langue est plus lent, mais donne autant de frissons. Je ronronne en me trémoussant. Puis j’implore son coup de bassin dans mon vagin…

Sophie

Nous revenions de chez Trevor. Quelle soirée d’ailleurs… Chaque fois que j’y repense, je mouille! Je voudrais bien calmer mes ardeurs et plonger un doigt ou deux dans ma chatte en repassant dans ma tête le film porno de mes ébats, mais je suis menstruée.

Contentons-nous alors de l’écrire… Pour le trip que cela m’a procuré, un trio avec deux hommes que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam est particulièrement grisant. J’avais gardé mon chignon et mes lunettes à la demande d’André (le sucé) parce que je lui faisais penser à la secrétaire d’un collègue qui, de l’avis de ce dernier, est une vraie cochonne. Il devait être très inspiré parce qu’il a giclé trop rapidement à son goût. J’avais beau le rassurer, sauf que c’était difficile avec mon grand noir, dont le prénom était Edgar, qui me pénétrait si bien… Je ne représentais ni une collègue sexy, ni une actrice qu’il voulait se taper. Je le faisais bander tout simplement… Le coup est parti pendant la chevauchée. Je galopais sur sa grosse queue pendant qu’André m’embrassait le cou en prenant bien garde de ne pas poser ses lèvres sur son sperme! Il l’étendait d’ailleurs sur ses doigts et le portait à ma bouche.

Après ma sortie de douche pour me débarrasser des traces de foutre d’André, Trevor s’occupa de moi pour le reste de la soirée. Tous les deux dans sa chambre avec portes verrouillées pour l’occasion. Ça ne se refuse pas! Il m’a fait jouir doucement, longtemps, à petit feu, avec la langue, avec les doigts, avec le sexe, sur la chatte et l’anus. La musique pour nous transporter au 7e ciel : Te Deum de Bruckner. Je connais un peu puisque Petit mari est un mélomane. Mais dans les bras de Trevor, je ne pense à rien d’autre que de prendre mon pied. Sa voix est un peu éraillé, mais douce. Il me complimente sur toutes les parties de mon corps, me dit que je suis belle, que mes jambes l’excitent, que je goûte bon… Bref, tant de façons de m’allumer à coup sûr!

 

Puis nous voilà dans la voiture de MJ. Habillée, pomponnée, comme si rien ne s’était passé. À l’exception que je ne porte plus de culotte. Sans doute est-elle quelque part chez Trevor. Ça lui fera bien quelque chose à humer de temps en temps…

-Je n’ai pas envie que ça se termine tout de suite, lance MJ. À la radio, Virgin Radio joue du dance qui semble inspirer mon amie Irene qui se voit sur une piste de danse en train de me peloter. Elle ne cesse de m’embrasser dans le cou et de zieuter dans mon décolletée.

-C’est que je n’ai pas eu ma part de Sophie pendant la soirée…, se plaint MJ qui tient le volant

-Moi non plus! S’objecta Irene. C’est vrai, elle a passé la soirée avec deux gentils hommes ainsi que Trevor…

-Oui, mais tu prends ton pied, là! Je te vois dans le rétroviseur.

Effectivement, Irene sait faire durer le plaisir…

-Tiens, pourquoi on n’arrête pas au Motel Pierre? Dis-je comme ça, sans réfléchir.

Dix minutes plus tard, j’ai deux femmes à mes pieds. Deux femmes gourmandes, voraces et un brin jalouse de ne pas m’avoir goûtée plus tôt… MJ se reprend de mes ébats féroces d’il y a deux semaines, alors qu’Irene, bien « en selle » sur mon visage, me prend les mains pour que je lui masse les seins.

À 1 h 15, tout est terminée. Je reviens à la maison, très fatiguée, mais « diablement » heureuse.

Sophie

Parfois, je me le demande… Petit mari a été mon seul baiseur, ma seule queue gorgée de sang entre mes jambes ouvertes, ma seule langue appliquée avec soin sur chatounette, mes seules mains lâchées en liberté sur mon corps soumis.

Mon seul…

Est-ce assez pour dire que je suis comblée sexuellement, charnellement?

À l’adolescence, j’étais une petite allumeuse, mais trop portée sur la romance pour m’offrir sans amour, juste pour la beauté du sexe et donner de quoi à bouffer à mes pulsions. J’avais beau laisser une main se balader en « zone interdite », sous la douche ou seule dans ma chambre, il fallait peut-être passer de la théorie  la pratique ou du rêve à la réalité.

J’envie parfois MJ qui possède une belle collection d’amants.

J’envie même Séverine qui aurait pu m’inclure dans son tableau de chasse saphique et qui, parfois, trompe sa copine, tantôt en french kisses furtifs, tantôt en aventures torrides sur un sofa de salon ou la douche d’une femme naïve qui se croit vraiment devenir une « femme de sa vie ».

Et je fantasme sur un cadeau… Une sorte de compromis entre ma fidélité et ces tentations de voir ailleurs si la queue est plus grosse et plus vigoureuse qu’ici.

Je m’imagine être offerte à l’homme de mon choix par petit mari, à condition qu’il puisse regarder nos ébats pour son bon plaisir. Par exemple ce bel inconnu qui fait l’objet de mes obsessions, je peux? Ou Enrique, ce jeune homme dans la vingtaine qui tond la pelouse à la maison, je peux?

En échange, je peux te lancer dans les bras de MJ que tu aimes bien regarder de temps à autre… Oui, oui, je t’ai vu perdre de vue la réalité pour te retrouver le regard entre ses deux seins. J’observerai sans peine, assise sur ma chaise de lecture, les doigts mouillées de ma cyprine, prête à venir vous rejoindre. Il y a Dominique aussi, mon autre copine, celle qui est admiration pour tout ce que tu fais…

Et même si ça te fait plaisir, aimerais-tu me voir perdre la tête par les coups de langue de Séverine sur ma chatte à vif qui en redemande?

Sophie

Petit mari était fatigué hier soir. J’ai donc pris mon bain seule. D’habitude, il m’accompagne lors de ces petites séances relaxantes qui, une fois deux (ou sur toi), se termine par une sauterie dans la salle de bain ou sur le lit. Or, la journée au travail fut particulièrement éreintante et monsieur avait besoin de s’endormir plus tôt.

C’est parfait, je le comprends.

Sa présence me manquait un peu, mais j’avais de quoi tenir : Les Nouveaux bonheurs de Sophie, un roman érotique de Vonnick de Rosmadec, la lotion parfumée à la lavande qui rendait ma peau soyeuse et Jane Birkin qui chante les « malheurs » d’une jeune femme qui allume tous les hommes, et ce, au grand dam des épouses (Lolita Go Home)…

J’étais bien et troublée à la fois. Je pensais à demain, à ce monsieur muscle des chantiers que je ne pourrai voir parce que j’ai un lunch au centre-ville avec MJ et son amie Irene. Cette tentation qui me taraudait l’esprit, celle d’entrevoir son corps, de le toucher, de l’embrasser, cette tentation de l’entraîner chez moi, de chevaucher son sexe et de jouir à en perdre la tête…

Je croyais me changer les idées en me plongeant dans ma lecture. J’aurais dû prendre un magazine plutôt que Les Nouveaux bonheurs de Sophie. Voilà que l’héroïne couche avec Antoine, son amant, ainsi qu’un ami de ce dernier.

Triolisme… À la merci de deux hommes… À la merci de deux sexes… Lequel vais-je pomper? Lequel se plantera dans ma chatte?

Que fait-il ce soir, mon bel inconnu? Je l’imaginais avec sa petite amie ou sa femme, je ne sais trop. Je l’imaginais lui dire « j’ai des courses à faire, je reviens dans une demie-heure ». Je l’imaginais rappliquer ici. « Pour toi, cher anonyme, je te laisse jouer avec mon con pendant que je sucerai mon mari »…

C’en était trop. Je suis finalement sortie de l’eau. Après m’être bien asséchée, j’ai enfilé ma nuisette puis me suis glissée dans les couvertures, croyant que la nuit porterait conseil…

Sophie

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