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Se caresser, ce n’est pas assez…

Petit mari n’a pas pu terminer son roman policier. Toute excitée que j’étais pas mes infidélités et mes fantasmes galopants, il a eu droit à la totale. Le petit dort, les portes massives de notre chambre sont fermées, je n’ai pas envie de dormir.

Il est comme un scout, Petit mari. Toujours prêt à rendre service. Le sexe bien en l’air, les mains baladeuses, prêtes à vouloir éteindre le feu de tous les moyens possibles… Sa bouche me couvre de baisers tout partout. J’en voudrais d’autres bouches qui parcourent tout mon corps, de même que d’autres mains comme les siennes qui prennent de mes deux orifices.

Je le suce à quatre pattes, la fente bien ouverte et bien exposée, toute désireuse qu’un autre homme entre dans la chambre et s’occupe de moi. Jean, par exemple. Oh oui, Jean… On brûle les étapes? On n’attend pas la branlette espagnole avant de se taper ma jolie chatte? J’esquisse des mouvements du bassin, comme si on me pénétrait vraiment.

Je fais alors demi-tour, prête pour un 69 et ronronner de plaisir. La langue un peu rugueuse de Petit Mari deviendra la clé de ce fantasme en trio. Ah! Qu’il mange bien, ce cher époux… Qu’il sait où frapper, si vous voyez ce que je veux dire. Je l’entends aussi respirer un peu plus fort et…

Première éjaculation. Je suçais un peu trop fort, apparemment. Ce n’est pas grave. Elle ne se reposera pas très longtemps, sa bite… La bouche pleine de foutre, j’avale le tout en vitesse et je me dresse en sculpturale tour sur le visage de mon mari. Il retient mon corps par mes seins. Je tangue doucement, je sombre vers les abîmes du plaisir avec, en pensée, ma belle Séverine, mais aussi mes amies MJ et Irene. À tour de rôle, elles me donnent quelques coups de langue bien sentis. Je réponds en lançant des paroles sales, osées, des mots qu’on ne trouvent pas dans la bouche d’une bourgeoise comme moi… On a tous un côté salope, n’est-ce pas?

La bite reprend vie. C’est le temps de se remettre à quatre pattes. Il faut garder le momentum… La levrette. Profonde et dépravée levrette. Je sens qu’on part à l’aventure… Le mouvement rapide, les deux mains qui m’agrippent par les hanches, les doigts qui pénètrent dans la peau, la douleur… Le frottement, l’intensité et les cris. Je ne pense plus à rien, je jouis!

Merci pour celle-là, Petit Mari. Malheureusement, elle ouvre une semaine de disette. La mer rouge a commencé cet après-midi.

Sophie

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